Mémoire de stage : Lacroix Sofrel

A travers ce mémoire, j’ai essayé de développer un réel sujet auquel j’ai été confronté durant mon stage. Pour un aperçu global du contexte qui m’entourait pour écrire cette réflexion, il a été possible de découvrir l’entreprise LACROIX Sofrel comme spécialiste de télégestion détenant de nombreuses ressources et étant entouré par un contexte assez compétitif malgré leur stratégie d’hyperspécialisation. Aussi, la compréhension du poste de l’Assistante Export/ADVE, en tant que personnel polyvalent au cœur du service export, est primordial pour comprendre le sujet aborder dans ce mémoire. L’ambition à l’export est bien présente chez LACROIX Sofrel, elle fait partie de leurs principaux objectifs. Cependant, comme dans toute entité, des améliorations sont possibles (et même envisageable suite à l’année plate qui a été réalisée en 2018). Face à ce problème de gestion qu’est « l’amélioration à l’export », je me suis centrée sur une fonction à laquelle je suis particulièrement sensible et qui peine à se faire connaître, celle des Assistantes Export/ADVE. De là, la problématique qui a guidée ma réflexion est « En quoi les ADVE sont une clé de réussite à l’export ? » Pour cette problématique, de nombreuses réflexions et observations ont été nécessaires, mêlant principalement des observations terrains, des témoignages, des connaissances théoriques vues en cours et d’autres provenant de sites web et de livres. Pour répondre à cette problématique, il m’a semblé important d’y trouver une certaine logique : la première réflexion est axée sur la relation et la satisfaction client : nous comprenons alors que l’assistante export participe réellement à la création de capital client via ses compétences relationnel pure mais également ses compétences culturelles et linguistiques, qui crées cette proximité très importante avec le client. La seconde réflexion s’est étendue sur la problématique administrative et logistique : nous avons pu déduire que l’ADVE est au cœur du traitement des commandes, et est un réel appui pour les autres services qui peine à l’export. Aussi, nous avons constaté que son rôle en tant que génératrice et gestionnaire de documents export détient une place colossale que soit pour favoriser les échanges que pour éviter tout problème douanier. Il a quand même été possible de relever certaine difficultés qui peuvent freiner les assistantes export dans cette « réussite »/efficacité. Pour palier à celle-ci, j’ai émis quelques recommandations, qui n’engage que moi-même. Celles-ci tournaient autour la cohésion de groupe, de la promotion de l’export et du poste ,et de l’autonomie des services. Des actions ont d’ailleurs été mise en place par la Responsable Assistante Export pour améliorer les différents points abordés. Elle a également un réel rôle de soutien auprès des ADVE. Il est alors possible aujourd’hui de mieux appréhender ce poste complexe et polyvalent. Il y a tout de même plusieurs limites à émettre : la première est que le poste d’ADVE ne se limite pas à ce que j’ai pu développer dans ma réflexion, beaucoup d’autres tâches que je n’ai pas recensées occupent les assistantes export tous les jours. La seconde est que la réussite de service dépend énormément de la réussite des autres services. Le service commercial export, le marketing, le service expédition, le service des assistants technique, des administrateurs de vente et de la recherche et développement détiennent tous un impact sur cette réussite à l’export. La réussite d’une entreprise à l’export est un vaste sujet, où chacun des acteurs de l’entreprise à son rôle à jouer.

Institut Universitaire de Technologie